J'ai déjà eu l'occasion d'exprimer ma déception à propos du Web 2.0.
Philippe SCOFFONI dans son billet (Mon logiciel (rêvé) pour analyser les données issues des réseaux sociaux), décrit les fonctionnalités d'un outil capable de faciliter la collecte, le tri et la synthèse des sources d'informations qui le préoccupent.
Je ne nie pas l'importance, voire l'utilité, de ces étapes, cependant, à une époque où l'information est disponible par un simple clic, je n'éprouve pas le besoin d'ensiler ce qui l'a déjà été...
Personnellement, je ne conserve la trace des informations auxquelles j'ai eu accès que :
SI je devais exprimer un souhait quant à un outil, se serait en faveur d'un outil qui favoriserait la sérendipité et par conséquent, l'ouverture d'esprit.
Philippe SCOFFONI dans son billet (Mon logiciel (rêvé) pour analyser les données issues des réseaux sociaux), décrit les fonctionnalités d'un outil capable de faciliter la collecte, le tri et la synthèse des sources d'informations qui le préoccupent.
Je ne nie pas l'importance, voire l'utilité, de ces étapes, cependant, à une époque où l'information est disponible par un simple clic, je n'éprouve pas le besoin d'ensiler ce qui l'a déjà été...
Personnellement, je ne conserve la trace des informations auxquelles j'ai eu accès que :
- si j'ai pu les relier directement à ma pré-occupation du moment ou à une réflexion antérieure toujours active ;
- si je peux les utiliser immédiatement pour enrichir mon approche d'un sujet.
En dehors de ces deux cas de figure, je considère que les moteurs de recherche à ma disposition sont bien plus adaptés pour retrouver une information à jour que n'importe lequel des mes classements personnels.
SI je devais exprimer un souhait quant à un outil, se serait en faveur d'un outil qui favoriserait la sérendipité et par conséquent, l'ouverture d'esprit.