Francis PISANI relate sa lecture du livre de Jeff JARVIS "What Would Google do ?" sur son blog : billet1, billet2, billet3.
Il en retient :
- que les institutions publiques ou privées doivent s'ouvrir : "Donner le contrôle aux gens" car "plus vous contrôlez, moins ils ont confiance en vous".
cf. cette carte heuristique sur la consultation en temps réel des apprenants. - "Qu’elles puissent échouer dans ce processus nouveau est de l’ordre de l’évidence. Mais se tromper ne compte pas. C’est même préférable à l’absence d’erreurs.
Il faut « se tromper tôt et vite » pour pouvoir corriger les erreurs à temps.
« Ce n’est pas l’erreur qui compte, mais ce qu’on fait pour la corriger ».
Il y a même mieux : se tromper et reconnaître son erreur peut contribuer au renforcement de la crédibilité."
A mettre en perspective avec mon billet "A propos de la confiance des apprenants en eux-mêmes" - "toute société qui vit de ce que produisent les gens ne peut pas s’opposer à ce que pensent les gens, à ce qu’ils manifestent."
- "Parmi les mots révélateurs fréquemment utilisés par Jarvis, on notera : transparence, ouverture, confiance, générosité, plateforme, vitesse, réseaux, rapidité et abondance."
Je ne peux m'empècher d'établir un parallèle avec :
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